Charly Samson clôture sa série sur les secrets de la Grande Pyramide dans GCDO#05. En voici un extrait afin de vous remettre dans le bain :
"L’Egypte est beaucoup plus qu’une destination pour touristes en mal de dépaysement. Elle cache et protège dans sa Grande Pyramide et dans les vestiges de ses monuments la sublime richesse offerte par des initiateurs venus d’ailleurs. Aller à leur rencontre est un véritable “retour aux sources”. Par l’intermédiaire de l’Egypte, notre orgueilleuse civilisation en son XXIème siècle est née au bord du Nil, brusquement, comme une eau vive qui jaillit de mondes que nous ne connaîtrons jamais. Notre science, toujours prisonnière de ses certitudes, de sa condescendance et de sa supériorité, n’examine la vertigineuse profondeur de notre passé qu’en ne s’intéressant qu’à l’écume des vagues. Elle traduit littéralement le récit gravé sur une pierre sans se douter que le support est aussi important que le texte. Elle ne tient aucun compte du conseil qui lui est prodigué par les auteurs de ces écrits : “On ne peut comprendre le sens de nos messages qu’avec l’intelligence de l’âme.” Il ne s’agit pas de traduire par l’utilisation du savoir accumulé dans l’intellect, mais de “ressentir” la pensée de l’auteur en plaçant ses propres vibrations en syntonie avec les vibrations que cet auteur a gravées dans la pierre.
Elever ses vibrations au niveau de celles de cet auteur est un exercice que chacun peut accomplir en suivant les enseignements contenus dans les principes d’Hermès Trismégiste. Si cet enseignement est celui d’un personnage qui fut Thot pour les fondateurs de l’Egypte des pharaons, bien des portes nous sont ouvertes pour ne pas nous fourvoyer dans les fausses interprétations de l’archéologie officielle. L’art de l’Egypte antique représente symboliquement des personnages et des forces de la nature en leur attribuant les qualités de certains animaux. Ainsi le “dieu-instructeur Thot” est souvent représenté par un personnage à tête d’ibis ou par un babouin. Mais l’art et la science se confondent lorsque se mêlent la beauté, le symbolisme et des forces que notre époque ignore encore et qui nous paraissent en dehors des lois de la nature.
C’est ainsi qu’au siècle dernier, dans les années 1920, le grand public et certains de nos scientifiques ont évoqué une “malédiction”, la malédication de Toutânkhamon... Ce pharaon, mort alors qu’il n’avait pas vingt ans, est plus connu que tous les autres souverains de l’Egypte en raison de sa vengeance posthume. Elle coûta la vie à tous ceux qui ont découvert et “violé” sa sépulture, à l’exception d’un seul. Cette série de décès n’a pas été expliquée scientifiquement et la seule raison retenue a été l’effet d’une vengeance par des phénomènes de magie. Les quelques hypothèses avancées ont toutes été démenties par des études sérieuses : moustiques, insectes, chauves-souris, etc. La dernière en date supposait que les peintures ornant la sépulture pouvaient être nocives lorsqu’on les touchait. Des analyses ont démenti cette possibilité. La croyance en une malédiction s’est installée comme une réalité. En 1993, je me suis rendu dans la vallée des rois où se trouve le tombeau de Toutânkhamon. Il n’y avait pas grand monde en raison de craintes d’attentats. Avec mon épouse je suis descendu au cœur du monument, mais plusieurs personnes qui nous avaient suivis sont remontées précipitamment. Elles exprimaient leur peur de subir la malédiction. Nous sommes restés une bonne demi-heure dans ce lieu très particulier où, au contraire, nous avions l’impression d’être acceptés. Depuis, j’y suis retourné dans les mêmes conditions… Comme toujours, notre science officielle refuse d’accepter les explications dont nous avons de multiples preuves. La malédiction tant redoutée est un effet de la science de cette civilisation. Elle est en relation avec la connaissance des pierres et des forces qu’elles peuvent accumuler et diffuser. Si on qualifie cela de “magie”, on doit considérer que “LA MAGIE est l’utilisation des forces de la nature”, sans évoquer la moindre intervention d’un surnaturel imaginaire. Aujourd’hui, nous savons comment fonctionne ce “mécanisme d’intervention” à distance et dans le temps. Nous en constatons les effets générés par le psychisme humain et par les propriétés de la matière. Et nous savons les utiliser."
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