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Photo du rédacteurAntoine Station

VALENTINE DENCAUSSE Alias Mme FRAYA et la science des Nombres



Étude réalisée par Maud Millet

en collaboration avec Arnold Rettenbacher


Le but de cette étude n’est pas de retracer la carrière de cette célèbre voyante ayant vécu au XIXe siècle, qui fut largement décrite dans un article élogieux de Magali Cazottes (à découvrir en cliquant sur ce lien), écrivain et chiromancienne, en 2016, mais d’aborder la personnalité de cette femme d’exception à travers la Science des Nombres, car les nombres parlent… Je vous invite à les suivre pas à pas depuis le jour de sa naissance …


Après l’obtention de sa date de naissance via son acte de naissance, confirmée dans son acte de mariage, je suis en mesure d’établir l’analyse alphanumérique de la voyante avec fiabilité car, dans le passé, une erreur sur cette date de naissance avait été commise par la journaliste Simone de Tervagne qui avait été en relation plusieurs années avec Mme Fraya.


Elle est née le vendredi 20 Mai 1871 à 10 heures du soir.


Acte de Naissance :




On lui donna les prénoms de : Marie, Marguerite, Cécile, Clotilde, Valentine.

Or, curieusement, son entourage l’appela par son cinquième prénom : Valentine.

Voyons le nombre de lettres et de chiffres que comportent tous ses prénoms :

Marie............................................................. 5 lettres

+ 4 1 2 1 5....................................................... = 13

Marguerite.................................................. 10 lettres

+ 4 1 2 3 6 5 2 1 9 5........................................ = 38

Cécile............................................................ 6 lettres

+ 2 5 2 1 3....................................................... = 18

Clotilde......................................................... 8 lettres

+ 2 3 7 9 1 3 4 5.............................................. = 34

Valentine....................................................... 9 lettres

+ 6 1 3 5 5 9 1 5 5........................................... = 40


Total en lettres : 5 + 10 + 6 + 8 + 9 = 38 = 3 + 8 = 11

Total en chiffres de tous ses prénoms : 13 + 38 + 18 + 34 + 40 = 143 = 1 + 4 + 3 = 8


Valentine Dencausse en lettres et en chiffres = 9 + 9 + 40 + 40 = 98 = 17 = 1 + 7 = 8 !

Nom patronymique DENCAUSSE :

* En Lettres ……………………………… = 9

* En Chiffres : 4 5 5 2 1 6 6 6 5 ………….. = 40

* Total …………………………………….. = 49

4 + 9 = 13


Constat : isolé, son patronyme devient un nombre « karmique » qui serait d’ordre familial vraisemblablement lié à sa fille.


Autre constat : si nous examinons l’acte de mariage, nous voyons que son époux avait 34 ans ( 3 + 4 = 7 ) et qu’elle avait 18 ans – leur différence d’âge était de 16 ans (1 + 6 = 7 ).

Le nom de son époux est Louis Delmas :

* En lettres …………………………………= 11

* En chiffres : 3 7 6 1 6 4 5 3 4 1 6 = 46 = 4 + 6 = 10

Total …………………………. = 21

2 + 1 = 3

Remarque : Valentine Dencausse porte le nombre 8 en lettres et en chiffres.

Si nous additionnons le 8 de Valentine et le 3 de Louis, nous avons : 8 + 3 = 11. Or, si nous additionnons 1 + 1 = 2, nous avons la « dualité » qui fut celle du couple qui se sépara au bout du 5e jour ( 2 + 5 = 7 ! )


Le total des âges des époux est égal à :

34 + 18 = 52 = 5 + 2= 7 !!


Force est de constater que ce mariage ne fut pas placé sous une bonne étoile puisque Valentine quitta son époux le cinquième jour, victime de violence conjugale. Une fille naîtra de cette malheureuse union qui sera, dira-t-elle, « son karma »… Ce fut le cas hélas. Les époux Delmas divorcèrent le 26 Juin 1896 pardevant le Tribunal Civil de Toulouse, c'est-à-dire SEPT années après leur mariage qui avait eu lieu le 10 Juin 1889 à 11 heures du matin.

Remarque :

- Nous retrouvons le 10 qui correspond à son heure de naissance et le 11 à celui de l’ensemble de ses prénoms en lettres.


- Le mot « divorce » comporte … 7 lettres


- Le mot « Toulouse » comporte … 8 lettres, chiffre qui correspond à la date du divorce : 26 ( 2 + 6 = 8)

Si nous additionnons le 7 et le 8 nous avons :

7 + 8 = 15 = 1 + 5 = 6 = DELMAS en lettres

Toutes ces « concordances » sont pour le moins troublantes !


On peut dire que dans la toute première partie de son existence, le Nombre SEPT ne fut pas favorable à Valentine mais, comme nous allons le découvrir, les natifs qui ont ce nombre dans leur CHEMIN de VIE sont branchés en direct avec le CIEL. Ce qui leur donne la capacité de faire face aux tourments terrestres et de se redresser en toutes circonstances.


Le mathématicien et observateur scientifique Arnold Rettenbacher qui s’intéresse à l’Univers a étudié le CIEL de Mme FRAYA au moment de sa naissance et voici ce qu’il nous dit :

« En cette soirée du 20 Mai 1871, le Soleil est couché, la Lune également – il est 22 heures et elle est sous l’horizon, elle suit le même parcours que le Soleil ces jours-ci, tous les deux sont incontestablement dans la Constellation du Taureau qui est le Signe astrologique Sidéral de Mme Fraya ; qui plus est, c’est la nouvelle Lune – même si elle avait été au-dessus de l’horizon elle aurait été invisible.

On peut distinguer sa position sur le cliché joint version rouge, elle est située proche du T du mot du TAUREAU.

Cette absence du Soleil et de la Lune rend la nuit noire et offre un magnifique spectacle d’étoiles et de planètes qui brillent par milliers – On remarquera la présence de JUPITER, VÉNUS et URANUS, toutes trois dans la Constellation des Gémeaux, Constellation dont les deux têtes sont représentées par les célèbres Castor et Pollux.


Fait intéressant : la PLANÈTE 9 dite PLANÈTE X passe dans la Constellation d’Orion (voir les photos-simulations ci-après).

Le CIEL en cette soirée est très riche de nombreuses influences qui vont selon toute vraisemblance influencer le destin, la vie et le caractère de Mme FRAYA »

VISION NOCTURNE de la LUNE en TAUREAU (située au niveau du T). Une fine ligne horizontale représente l’horizon :


URANUS, VÉNUS et JUPITER dans la Constellation des Gémeaux avec Castor et Pollux :


On aperçoit MARS en LION à 22 heures le 20 05 1871

(Sous la patte arrière gauche) :



POSITION du SOLEIL sous l’HORIZON en TAUREAU :


NOUVELLE LUNE & SOLEIL en TAUREAU, quelques heures avant sa naissance :



Notre TAUREAU né le 20 05 1871 à 22 heures (ou 10 heures du soir) a un ascendant CAPRICORNE qui se trouve en Maison X.

ASCENDANT CAPRICORNE

Notre taureau a dans son CIEL deux magnifiques Étoiles : Bételgeuse et Aldébaran .


Voyons quelles sont leurs particularités :

* BÉTELGEUSE est une super géante rouge dans la Constellation d’Orion, elle est sur son épaule, c’est la huitième étoile la plus brillante du Ciel et c’est l’une des plus grandes étoiles connues de la voie lactée ; à sa surface, la Nasa a observé des bulles bouillonnantes identiques à de l’eau bouillant dans une casserole – elle est mille fois plus grosse que le Soleil…


(Photo : Agence Science Presse)


Si l’on regarde la photo du TAUREAU (nouvelle Lune en Soleil ci-dessus) on voit que Bételgeuse, Bélatrix, planète 9 et Orion sont très proches et que Bételgeuse est à la Pointe de la corne droite du Taureau !

ALDÉBARAN est une étoile géante orangée, la plus brillante de la Constellation zodiacale du Taureau et la treizième étoile la plus brillante du Ciel nocturne. Actuellement la sonde spatiale américaine Pionner 10 se dirige vers elle – le nom Aldébaran signifie « le suiveur » en référence à l’étoile qui suit les Pléaïdes dans leur course à travers le Ciel nocturne.


* Ces deux magnifiques étoiles présentes dans le Ciel nocturne au moment de la naissance de Mme FRAYA ne pouvaient qu’envoyer des « vibrations célestes » intenses qui auraient une influence sur sa personnalité et son âme, telle est ma conviction. Nous allons le découvrir en analysant le Nombre 7 qui est le sien.


Voyons avant la magnifique photo de l’étoile ALDÉBARAN ci-après, la plus brillante de la Constellation du TAUREAU :


Et comme l’a dit Arnold Rettenbacher : « le Ciel ce soir-là était très riche de nombreuses influences qui allaient avoir un impact sur la VIE, le DESTIN et le CARACTÈRE de Mme FRAYA.

La signification du Prénom VALENTINE va se révéler dans sa devise « Celle qui avance, celle qui fonce », ajouté à cela le savant calcul de sa personnalité qui nous donne son évaluation en pourcentages :

* Émotivité ……………………………… 40 %

* Activité …………………………………..99%

* Intelligence……………………………… 97%

* Affectivité………………………………. 80%

* Sensorialité……………………………… 98%

Total ……= 414 %


Avec un tel potentiel chargé de vibrations célestes importantes comme nous l’avons constaté dans son CIEL, la petite Marie, Marguerite, Cécile, Clotilde, Valentine Dencausse = 47 lettres = 11 attirera le Monde entier au 11bis de la rue d’Édimbourg où se tiendra plus tard son Cabinet de Consultations et de Voyance.


Elle portera le nom d’une Déesse germanique :

F R A Y A

Dont les voyelles A + A sont égales à 1 & 1 ou 11

Tout comme Valentine : A + E + E + I = 1 + 5 + 5 + 1 = 12

Les voyelles de Dencausse sont : E + A + U + E :

= 5 + 1 + 21 + 5 = 32

L’ensemble des voyelles de Valentine Dencausse est égal au Nombre 12 + 32 = 44 = 8

Constat : le 8 correspond à son année de naissance (1+8+7+1= 17 = 8) et au nombre de ses réincarnations 8.


Pour obtenir le nombre des réincarnations on additionne les deux derniers chiffres de l’année de naissance – donc : 7+1= 8.

Mais revenons au Nombre 7

La SDN (Science des Nombres) est Formelle : l’ÂME de Mme Fraya fut gratifiée dès sa naissance de la magie du Nombre SEPT

* La SDN est Formelle : l’ÂME + la PERSONNALITÉ de Mme Fraya correspondent au Nombre SEPT (total des pourcentages ci-dessus = 414 = 4 + 1 + 4 = 9)

7 + 9 = 16 = 7

Avec le Nombre 11 que nous avons rencontré à plusieurs reprises, Mme Fraya a reçu la capacité de « GUIDANCE » grâce aux « vibrations angéliques » de ce Nombre qu’elle emporta avec elle à l’heure de sa mort à l’âge de 83 ans (8+3=11).

La Science des Nombres est formelle : le Nombre 7 correspond bien à son CHEMIN de VIE.

Son CODE SECRET – le Nombre 189 – correspond à son ÂME plus sa PERSONNALITE et/ou :

1+8+9 = 18 = 9 et 414 = 4+1+4 = 9

QU’EST-CE QUE LE NOMBRE 7 ?

Il procure à celui ou celle qui le possède une Vie intérieure très riche et remplie de Sagesse. Il dote son protégé(e) d’une forte intuition et lui donne le pouvoir de clairvoyance. À cela s’ajoute la capacité du discernement.

Ainsi, les émotions, les secrets, le mensonge, l’égoïsme, la destruction, les accidents, les maladies, la criminalité étaient immédiatement ressentis par la voyante, elle voyait TOUT à tout moment, l’examen des mains n’était que le LIEN de son DON. Madame FRAYA était une grande VOYANTE !

Ses déclarations étaient parfois brutales, il lui fallait tourner sa langue 7 fois dans sa bouche avant de les exprimer !

(Il faut lire l’ouvrage de la journaliste Simone de Tervagne « Mme Fraya m’a dit » pour le constater)

Dans ses consultations, elle était organisée, scrupuleuse et ne se vantait jamais de ses capacités, de ses compétences ; ses consultants s’en chargeaient à sa place, pensait-elle.


En Société, elle accrochait son public grâce à son charme indéniable et à son charisme. Son esprit s’évadait parfois – on le lui faisait remarquer – elle répondait alors « je réfléchis ». Elle était ainsi, Mme Fraya. Elle avait besoin d’observer, de comprendre, de découvrir les gens et les choses qui l’entouraient. Elle était la curiosité par excellence à la fois philosophe et mystique. Sa pensée était en direct avec l’AU-DELÀ disait-on parfois d’elle.

Elle était généreuse dans ses sentiments autant que dans sa vie quotidienne avec ses proches comme sa fille qui ne manquait pas une occasion d’en abuser.

Cette femme inspirée avait le goût du calme et de l’indépendance mais aussi de la solitude et du renoncement. Elle avait refusé plusieurs demandes en mariage après son divorce ; son BUT était de donner un « sens à sa vie » autre que familial. À travers l’étude des mains qui se tendaient vers elle, elle comprenait leur subtilité, disait que dès la naissance TOUT y était inscrit ; elle mettait du spirituel dans ses révélations : « je suis là pour spiritualiser la matière », disait-elle, les vibrations célestes que je ressens m’aident à expliquer la « logique terrestre » dans laquelle se trouvent mes consultants. Elle leur disait que les lignes de leurs mains ressemblaient à des diamants parfois brillants parfois plus sombres, elle devait faire très attention à ses propos pour leur présenter les événements parfois tragiques qui les frappaient. Elle les invitait à prendre du recul, de la distance à comprendre ce qu’ils cherchaient à exprimer à travers leurs mains, car TOUT a un « sens », disait-elle…


Elle était pour ses consultants un Maître de Guidance grâce à son Nombre 11.

Son Nombre 7 lui apporta l’abondance divine, la compréhension de la totalité de l’Univers, le devenir et l’évolution de l’être. Il favorisa ses travaux de l’esprit, sa vie intérieure et tout ce qui avait un rapport avec la recherche et l’analyse de ses consultants qu’elle n’avait aucune difficulté à comprendre, en un mot c’était une INITIÉE !

« Mon Ange gardien me guide », disait-elle, « grâce à lui je suis inspirée, orientée. Il apparaît parfois de façon soudaine pour m’aider à résoudre une situation compliquée. Il m’oblige à lever les yeux vers le Ciel pour constater sa présence providentielle ; son amour se manifeste dans des moments dramatiques où il est question de sauver une vie, ce sont les énergies d’URANUS qui se manifestent en lui et qu’il me transmet alors. C’est un Ange Chérubin, un Ange-refuge pour moi, il me rappelle que je suis toujours la bonne Intermédiaire pour apaiser les passions qui agitent les cœurs, pour apporter la paix et le calme aux âmes troublées, il mêle son souffle à mon souffle » …


Rappel : Arnold Rettenbacher a évoqué la Planète URANUS qui se trouvait dans la Constellation des Gémeaux à l’heure de la naissance de Mme Fraya.

« Je sais », disait-elle, « que mon âme ne va pas s’évaporer et que je continuerai dans l’au-delà à aider les humains. »

Après sa mort, la SDN nous dit qu’elle se serait manifestée en : 1961 - 1968 - 1974 - 1982 - 1992 - 2003 - 2006 - 2012 - 2015 et qu’elle se manifestera de nouveau en 2021 et 2024. En 1974, on sait que Marie VEDRINE, autre voyante qui était allée se recueillir sur sa tombe au Cimetière de Bagneux, entendit sa voix. Elle lui demandait de se faire l’interprète de fâcheux événements qui se préparaient en Europe….


La SDN reste muette quant aux circonstances qui l’ont mise en relation dans ces années-là avec des inconnus, hormis Marie Védrine, la seule personne qui aurait été susceptible de les évoquer était Simone de Tervagne hélas décédée en 1992.


À titre personnel, en 2015, j’ai évoqué Mme Fraya avec une amie écrivaine qui, dans un article élogieux qu’elle publia en 2016, réhabilita sa mémoire puis étudia la chiromancie. Aujourd’hui, elle est elle-même devenue une experte dans ce domaine : il s’agit de Magali Cazottes.


Dans les derniers jours de sa vie, le côté « surnaturel » de Mme Fraya frappait tous ceux qui l’entouraient, de même que ses révélations sur « les maladies nerveuses, les leucémies, les cancers qui allaient se développer partout dans le monde à cause des poussières atomiques transportées par les nuages et qui provoquaient la dysharmonie du corps astral ; la nourriture sera de plus en plus falsifiée ; les bruits, les vibrations des engins qui sillonnent la terre, la mer, le ciel, déséquilibrent nos corps ; l’humanité court à sa perte, elle n’est pas belle » disait-elle. « Je vois la guerre sur le Continent asiatique, au Moyen Orient, des changements de régimes politiques, des tremblements de terre dans de nombreux pays, et des épidémies à l’échelle mondiale » …


Elle connaissait le jour et l’heure de sa mort, elle était entrée en agonie le 9 Février à 17 heures,

9 + 2 + 1 + 7 = 19 = 1+9 = 10

Nombre correspondant à son décès : 16 02 1954 = 10

Elle possédait un très beau verre en cristal sur lequel avait été gravé son Prénom Valentine avec des petites fleurs. Il était posé sur son chevet rempli d’eau qu’elle buvait à petites gorgées, allongée sur son lit.

« Lorsque ce verre se brisera par la maladresse d’une personne de mon entourage ce sera le Signe de ma FIN, je n’en aurai plus pour longtemps », avait-elle annoncé.

Ce fut le cas : elle rendit l’âme à 12 heures 30 quand le verre se brisa le 16 février 1954 : (1+6+2+1+9+5+4+1+2+3= 34 = 7) !


Elle laissa une importante fortune constituée d’or, de biens immobiliers, d’objets et de meubles précieux dont certains furent vendus par sa fille aux enchères, à Drouot, entre autres un collier d’ambre qui lui avait été offert par l’écrivain Pierre LOTI.

Insatiable voyageur, Pierre Loti (1850-1923) avait parcouru la Turquie où il avait vécu un certain temps, puis le Japon, l’Égypte, la Chine et l’Inde. Il fut célèbre en son temps, connut le succès avec ses ouvrages, devint Académicien. Sa maison en province (classée monument historique), actuellement en travaux pour restauration, regorgeait d’objets orientalisants.

Ami fidèle de Mme Fraya qu’il consulta à plusieurs reprises et dont les révélations l’avaient comblé d’étonnements, il lui offrit le talisman auquel il tenait le plus, un collier d’ambre composé de 46 grains séparés par des perles de turquoise qu’il avait rapporté d’un voyage aux Indes… « Ne me demandez pas comment je l’ai obtenu, je ne puis vous le dire, ce dont je suis sûr c’est qu’il vous protégera ainsi que tous ceux qui vous sont chers. » « En réalité », ajouta-t-il, « ce n’est pas un collier mais un ancien rosaire hindou qui provient d’un temple situé à Bénarès, le temple de la Déesse des Faveurs. Il était posé sur ses genoux et les gens venaient le toucher, faisaient des vœux pour obtenir ses faveurs. Primitivement, il se trouvait dans un monastère du Tibet plusieurs siècles avant l’ère chrétienne. »


Puis il ajouta : « Selon le Brahmane qui me conta son histoire, les Grands Maîtres qui pratiquaient la magie théurgique le chargèrent de radiations bénéfiques d’une telle puissance qu’elles défient le temps. Quand, après des années de rites, de passes magnétiques et de prières, ils le jugèrent digne des Dieux, ils le firent porter à Bénarès par des moines qui l’offrirent à la Déesse des faveurs.


(photo J.P Trosset)

Depuis que Mme Fraya en était détentrice, de nombreux artistes témoignèrent des radiations bienfaisantes qui se dégageaient au toucher ; « il existe des correspondances entre les signes du zodiaque et les gemmes des minéraux » disait-elle, « c’est la magie des objets et des choses, certaines personnes sont plus sensibles que d’autres à ce phénomène. »

La Déesse des Faveurs dans son temple à Bénarès sait qu’il est désormais entre de bonnes mains à l’abri des voleurs…

Curieusement, Mme Fraya avait pris le Nom d’une Déesse nordique appelée FREYJA. Elle était belle, parfois rousse ou blonde. C’était la déesse de l’intimité, de l’attirance entre personnes, de la richesse, de la magie et des prophéties. Ni les dieux, ni les hommes ne pouvaient résister à ses charmes. Dans la mythologie nordique, cette déesse possédait un fabuleux collier, le collier des BRISINGAR qui était la source de sa magie. Or, il lui fut dérobé par le maléfique Loki. Elle fera tout pour le retrouver, parcourant le monde sur son char tiré par deux chats bleus à la poursuite de son voleur. Le fidèle Heimdall lui vint alors en aide et elle récupéra son collier qui était présenté lors des fêtes du solstice d’été, où l’on allumait des feux. Ce collier était essentiellement composé de perles d’ambre tout comme celui qui devait devenir le fétiche de Mme Fraya.

Le collier de FREYJA fut perdu, volé, retrouvé, vendu, reperdu, retrouvé à de nombreuses reprises….


La SDN fait remarquer que le nom de la Déesse des Faveurs de Bénarès est sous la magie du Nombre 7 :

* Déesse des faveurs ………16 lettres = 1 + 6 = 7 lettres

* Bénarès …………………………………… = 7 lettres


Le collier de la Déesse FREYJA fut-il celui de la Déesse des Faveurs qui se retrouva miraculeusement dans un monastère au Tibet ? Je suis tentée de le croire car, à titre personnel, j’ai eu l’occasion d’analyser un MALA Tibétain très ancien qui passa de mains en mains au cours des vies antérieures de son propriétaire qu’il finit par retrouver au XXIe siècle !

En effet, ces objets de culte ou de rituel gardent en eux la « mémoire » des événements qui marquent nos vies qui se préparent dans « l’invisible ». Ces événements sont écrits d’avance au moment de notre naissance.


Image de FREYJA, déesse nordique portant son collier de perles d’ambre :

Quelles sont les caractéristiques et les VERTUS de l’AMBRE ?

Il ne s’agit pas d’une pierre mais de la résine d’arbre qui provient de la fossilisation de forêts vieilles de quarante à cinquante millions d’années. Les morceaux d’ambre ramassés sur les plages contiennent souvent des fragments de bois, d’humus ou des insectes révélant son origine – l’ambre est une véritable pile électrique qui aide à recharger « nos batteries » ; il combat la dépression et l’angoisse ; son rayonnement favorise la résistance et entretient la forme physique.

L’ambre est bénéfique pour soulager les maladies, car il agit sur le corps grâce à son magnétisme. Il a été prouvé qu’il favorise la circulation des énergies dans tout l’organisme.


Le dictionnaire des Symboles le décrit de cette façon : « l’ambre représente le fil psychique reliant l’énergie individuelle à l’énergie cosmique, l’âme individuelle à l’âme universelle »

Les chapelets et les amulettes d’ambre agissent comme des condensateurs de courant. Ils libèrent ceux qui les égrènent ou les protègent des excès : les moines tibétains utilisent en conséquence des chapelets d’ambre car il favorise la concentration et la méditation.

Ses vertus sont positives sur les allergies, sur la gorge et la thyroïde, les infections virales. Nos ancêtres les Gaulois l’utilisaient dans des préparations de certains collyres.

En conclusion, l’ambre génère un bien-être physique et psychique ; il instaure le calme ; de plus, il renforce les protections du corps physique et éthérique.


Au VIe siècle avant Jésus-Christ, les Grecs connaissaient l’ambre, ils l’appelaient « elektron » (qui donne l’électricité) et c’est Thalès qui découvrit ses propriétés magnétiques. En effet, si l’on frotte l’ambre avec de la laine, il attire ensuite les corps légers – faites l’expérience en coupant de petits morceaux de papier de soie, ils se fixent instantanément au morceau d’ambre.

On comprend mieux pourquoi l’ambre était si précieux aux Déités !

Tous ceux qui le touchaient ressentaient son magnétisme.

On sait que la journaliste Simone de Tervagne acheta aux enchères à Drouot le collier d’ambre qui avait appartenu à Mme Fraya – toutefois, après sa mort en 1992, on ne sait pas ce qu’est devenu ce collier.


Je souhaite revenir sur l’année de naissance de Mme Fraya : 1871, afin d’examiner quelles furent les dates de ses vies antérieures.

Selon la SDN, elle se serait incarnée la PREMIÈRE fois en l’an 5500 av. Jésus-Christ, (5 + 5 = 10 = 1) vraisemblablement en Mésopotamie. (11 lettres)

- Puis en - 4177

* Nous retrouvons le 5, 2 fois (4+1=5) (7+7=14=5)

- Puis en - 1720

* Nous retrouvons le 1 (1+7+2=10=1)

- Puis en - 775

* Nous retrouvons le 5, 2 fois (7+7 =14=5 et 5 )

- Puis en - 19 (1+9=10=1)

* Nous retrouvons le 1 ( 1+9=10=1)

- Puis en 170 de notre ère, là nous sommes en présence du nombre 8

qui nous renvoie à sa SEPTIEME réincarnation, en l’an 1871. (1+8+7+1=17=8)


* Mme FRAYA se réincarnera HUIT fois et la dernière sera en l’AN 2060, en Nombre HUIT, nous dit la Science des Nombres (le 8 que nous avons évoqué en amont de ce texte).


CONSTAT : nous voyons que le Nombre SEPT fut présent dans 5 de ses réincarnations :

Moins 4177 avant J.-C.

Moins 1720 avant J.-C.

Moins 775 avant J.-C.

En 170 après J.-C.

En 1871 après J.-C.

Total des années = 8713 = 8+7+1+3 = 19 = 1


Le 1 étant sa première INCARNATION en l’an – 5500 avant Jésus Christ.

- 5500 = 5+5 = 10 = 1

- 19 = 1+9 = 10 = 1

CONSTAT : nous retrouvons le Nombre 11, maître de GUIDANCE de Mme Fraya, de même que le pays qui l’a vu naître la première fois : vraisemblablement la Mésopotamie en nombre 11 ! Compte tenu de l’époque (ancienne Mésopotamie), nous ne savons pas ce que fut son existence.


La célèbre voyante vient de loin comme on peut le constater à travers les Nombres proposés dans cette étude !

Après toutes ces concordances, je pense que Mme Fraya avait été une célèbre PYTHIE au cours de ses vies antérieures, tout comme elle le fut à la Belle Epoque comme le dit si bien Magali Cazottes dans son article.

La SDN nous dit qu’elle aura HUIT réincarnations. Nous en avons cité SEPT, la huitième sera en l’an 2060 en nombre HUIT (2+6=8).

Remarque importante : c’est sa 7e réincarnation en 1871 (1 + 8 + 7 + 1 = 17 = 8) qui la projettera en 2 0 6 0 (2 + 6 = 8), car elle porte en elle tous les fruits de sa naissance à sa mort avec les nombres :

7 - 8 - 9 - 10 - 11

que nous avons rencontrés tout au long de cette étude.


Conclusion

7+8+9+10+11 = 45 = 9

Le Nombre 9 est celui de l’épanouissement, de l’accomplissement, de la finalisation, symbole de la méditation, de l’inspiration. Il est considéré comme le nombre parfait de l’INITIÉ.

Ce nombre a été vénéré dans toutes les anciennes civilisations. On le retrouve dans de multiples coutumes, il est lié aux traditions autour des sources et fontaines, des mégalithes, des rituels des guérisseurs, etc.


Les nombreuses années passées dans l’au-delà entre chacune de ses réincarnations et auprès de grands maîtres ascensionnés ont fait de Mme Fraya un « être d’exception » comme on en rencontre peu au cours d’un siècle.

Partie en 1954, elle restera 106 années dans l’au-delà jusqu’en l’an 2060 :

106 = 1+ 6 = 7


Ce n’est qu’un « Au revoir » Mme Fraya, chère Valentine Dencausse, un jour nos chemins se croiseront à nouveau… J’en ai la certitude.



Source d’informations : Simone de Tervagne (à travers ses ouvrages).


Arnold Rettenbacher pour les photos du Ciel de Mme Fraya

NASA pour les photos des Etoiles.

Dictionnaire des Symboles.


On peut écrire à Maud Millet par l’intermédiaire de l’éditeur (gcdo.faq@gmail.com).




Concernant L'auteure :

Après avoir effectué des études de Droit et en Histoire de l'Art, Maud Millet a exercé plusieurs professions. Aujourd'hui retraitée, elle se passionne pour la "science des nombres" et sur son impact sur l'Univers et tout le vivant (hommes, animaux, végétaux, minéraux). Elle s'intéresse également aux anciennes civilisations, en particulier à la Mésopotamie, à l'Egypte antique, ainsi qu'au peuple Dogon et à ses rites et coutumes, sans oublier son rapport au cosmos. Ayant vécu plusieurs années en Afrique de l’Ouest, elle publiera bientôt un roman mêlant fiction et souvenirs de cette Afrique profonde qu’elle connut dans les années 60.



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