D’après Platon : “Il y a eu souvent et il y aura encore souvent des destructions d’hommes causées de diverses manières […] Tout d’abord vous ne vous souvenez que d’un seul déluge terrestre, alors qu’il y en a eu beaucoup auparavant […] Il y eut des tremblements de terre et des inondations extraordinaires, et, dans l’espace d’un seul jour et d’une seule nuit néfastes, tout ce que vous aviez de combattants fut englouti d’un seul coup dans la terre, et l’île Atlantide, s’étant abîmée dans la mer, disparut de même”. (Source : Platon, Timée, 21-26, Ed Garnier Flammarion, traduction par E. Chambry).
De nombreuses civilisations peuplaient la Terre il y a plus de 10 000 ans avant que le Déluge ne se produise, des peuples unis dans les mêmes traditions mégalithiques. L’Atlantide était-elle leur capitale, un royaume circulaire renfermant toutes leurs richesses ?
Selon Platon, lors de l'anéantissement de l'Atlantide, aucun “Atlante de l'Atlantide” n'a pu se sauver en raison de la rapidité du cataclysme. Cependant, de nombreux indices me laissent penser que la “race rouge” ne s’est pas éteinte il y a 10 000 ans. Un empire aussi sophistiqué a certainement réussi à s’implanter aux quatre coins du monde ou à envoyer une élite à un endroit précis... Des Atlantes s’étant trouvés hors de l’Atlantide au moment du drame ont-ils rejoint des comptoirs qui préexistaient ou ont-ils réussi à sauver une élite rescapée près de la Mer Rouge et ainsi développer la science divine atlante ?
Serait-il possible d’envisager que Noé fût le roi atlante qui aurait fui dans un vaisseau : la légendaire arche de Noé ? Il aurait emmené avec lui, d’après mes recherches, une lignée royale vers la région arabique du Yémen et de Babylone où vibraient de puissants vortex. Ses héritiers porteurs d’un Savoir extraordinaire, auraient, ainsi, construit dans cette région de grandes cités à l’image des constellations.
Mais, vers 3 300 avant J.-C., des événements dramatiques se sont produits et ces cités ont été réduites en poussière ainsi que leurs habitants, adorateurs d’Orion. Ce génocide décrit dans la Bible et le Coran n’est pas une légende, les ruines ensablées de ces cités sont encore visibles dans les déserts du Sahara, d’Arabie et près de la mer Morte : Sodome et Gomorrhe, Jéricho, Qaramel. À cette même époque, de nombreuses villes dans le monde portent des traces d’incendies inexpliqués (Mohenjo-Daro, Harappa, Kalibangan au Pakistan, Horodnika, Arkaïm en Russie, Clatchard Craig en Ecosse, l’Ile de Tory en Irlande, Malte, etc.). Du désert de Gobi au continent américain (au Chili, dans l’Utah, dans le Colorado), des cités entières ont été abandonnées et désertées. De nombreux murs ou objets vitrifiés ont été retrouvés à Glozel en Auvergne, à Sainte-Suzanne près du Mans, dans la cité d’Affrique en Lorraine, et dans le camp Péran en Bretagne… (cf Tome 1 et 2 “Les enseignements secrets” de Véronique Kerdranvat)
Si un génocide fut tenté pour éliminer les peuples “mégalithiques”, l’épisode de l’enfant sauvé des eaux nous signale qu’il existe des survivants. Leur richesse a été transmise par les druides et les chamans à travers les millénaires avant qu’ils ne fussent à leur tour victimes de l’Inquisition et de la chasse aux sorcières.
La lignée royale a, malgré tout, survécu chez les peuples qui portent la racine gal, wal et cal. Ainsi, l’Esprit Atlante, toujours présent, nous aide à élever le taux vibratoire de la Terre grâce aux symboles et aux formules sacrées.
Découvrez la suite de l'enquête de Véronique Kerdranvat dans les pages du numéro spécial "civilisations disparues" de Génération Cités d'Or #08 :
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